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MAISON DE LA VIE ET DE LA LIBERTÉ

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Jean Claude Martinez

 

Jean-Claude MARTINEZ
    
           
POUR L’AVENIR DES ÉLEVEURS ET DES PAYSANS



MES 27 MESURES CLÉS


Les gouvernements se succèdent. Et les propositions pour les agriculteurs aussi. Par exemple des mesures pour l’agriculture bio, le développement rural, les aides à la promotion et à la qualité, l’environnement et la nécessité de faire face à la crise alimentaire planétaire. La générosité sera d’autant plus grande qu’il y a 545 000 exploitants agricoles, 1,1 million d’actifs hors saisonniers, 567 000 employés dans les industries agroalimentaires et surtout 1,9 million de retraités anciens exploitants et 2,3 millions de pensionnés anciens salariés agricoles. Soit plus de 5 millions d’électeurs agricoles. Ça ne se néglige pas...

Mais la PAC relevant de Bruxelles et de Genève, de l’Europe et de l’OMC, il est difficile pour la présidence française d’avancer un seul programme agricole national. Il faut aussi un programme pour les 27 en plus du programme spécifique à nos agriculteurs de France.


Je donne ici 27 idées nouvelles pour 27 mesures nouvelles.
23 à prendre à Paris, trois à Bruxelles et une à Genève.



14 mesures pour nos éleveurs ovins

Cette filière est au bord de la disparition. Alors qu’elle produit de la qualité, de l’aménagement des territoires et de la sauvegarde des zones fragiles. Il faut sauver le mouton français. Ce qui commence par une aide d’urgence au revenu.

1 – Doublement des crédits de modernisation des bâtiments d’élevage
pour les porter à 95 millions d’euros et satisfaire les 8 500 dossiers en attente.

2 – Rétablir les abattoirs ovins de proximité pour réduire les coûts
de transport et de ramassage, diminuer les risques de crises sanitaires
et assurer une plus grande transparence
entre les éleveurs et leurs clients.

3 – Plan de formation, d’encadrement technique et d’assistance
aux jeunes éleveurs s’installant.

4 – Prime pour la tonte ovine, à imposer au budget européen
pendant la présidence française.

5 – Sanctuarisation de l’OCM ovin pour éviter, après 2013,
un découplage total des aides qui entraîne la «désincitation» à produire.

6 – Fonds budgétaire de mobilisation de l’espace pastoral
pour faciliter la vie des éleveurs.

7 – Octroi aux éleveurs du droit de vacciner eux-mêmes
contre la fièvre catarrhale.

8 – Mettre au point les dispositifs juridiques et financiers
d’un «bouclier sanitaire» pour circonscrire les crises sanitaires.

9 – Porter les primes à l’ovin à 125 % du niveau de celles aux bovins.

10 – Prime de 15 euros par brebis pour le maintien
du troupeau de brebis allaitantes.

11 – Partage du budget de 6 millions d’euros annuels, consacré aux grands prédateurs, avec les éleveurs victimes d’attaques de prédateurs.

12 – Prime au gardiennage des troupeaux et budget
pour le développement du métier de berger.

13 – Subvention par l’État des mécanismes d’assurance
pour couvrir tous les risques de l’élevage.

14 – Bourses bergers Erasmus, pour offrir aux jeunes,
entrant dans le métier de berger, un an de formation pastorale
dans un autre pays.


9 mesures pour tous les paysans de France



1 - Un Fonds d’Intervention pour les Campagnes (FIC)

 
Créé sur le modèle du Fonds d’Intervention pour la Ville (FIV),
il aura pour mission d’assurer l’équité territoriale pour nos ruraux,
jeunes, familles, personnes âgées, bénéficiant de la même qualité
de services publics que celle offerte aux urbains.
Au nom de l’égalité entre tous, aux aides pour les jeunes rappeurs
doivent correspondre des aides pour les jeunes éleveurs.
Ce FIC financera ainsi :
- l’équipement de proximité sociale pour les mères de familles
avec crèches, halte-garderie… ;
- la couverture ADSL et en moyen de communication ;
- une politique du logement équivalente à celle
faite pour les banlieues ;
- l’équipement en maisons de retraite et aides à la personne
pour les ruraux âgés.

2 - Une Caisse de compensation de la dette agricole

Elle va prendre en charge la dette des exploitants en difficulté.
Parce que la dette des agriculteurs est due aux importations
qui ont pris la place de leurs produits sur le marché national.

La Caisse fonctionnera sur le modèle de la structure de cantonnement
de la dette du Crédit Lyonnais.

3 - Une Dotation Rurale d’Équité Sociale (DRES)


Elle va financer les «Maisons de vie rurale» où seront regroupés,
au minimum au niveau cantonal, tous les services publics
nécessaires à la vie, avec crèches, permanences sanitaires, gardes pharmaceutiques, assistance à domicile,
transports médicalisés d’urgence…

Il n’est pas acceptable que nos communes d’Aveyron, Lot, Lozère
ou de montagne se trouvent en état de sous-développement durable.

Cette DRES, instituée par la France, doit, lors de la présidence française
de l’Union, être mise sur le tapis pour être cofinancée par des fonds régionaux européens au titre de la compensation des coûts sanitaires futurs
que le transfert de retraités de l’Europe du nord
vers la France du sud occasionne.

4 - Un Prélèvement de Péréquation Territoriale

En 2005, le prix moyen d’un logement était de
283 825 euros en Grande-Bretagne contre 176 000 euros en France.
Cette différence de 107 000 euros constitue,
pour l’acheteur anglais en France, une plus-value d’aubaine.
On comprend pourquoi les Britanniques ont acheté, depuis 2000,
50 000 maisons en France où ils détiennent 7 milliards d’euros
de patrimoine immobilier.

En 2004, ces achats France représentaient 7 % du total des transactions.
Il y a là, sur le marché du foncier agricole français, aux débouchés des compagnies aériennes Ryanair ou autres,
autour de Cahors, Laissac, Bergerac ou Limoges,
une spéculation, au détriment de nos jeunes agriculteurs aujourd’hui
et de nos coûts sanitaires demain, qui exige un Prélèvement
de Péréquation Territoriale.

Il faut répartir équitablement la plus-value foncière d’aubaine
que des Européens font en achetant nos terres.
Au prix bradé de 20 000 euros l’hectare.

Ce différentiel de prix entre nos territoires et les territoires d’origine
des acheteurs, sera l’assiette du Prélèvement de Péréquation.
Sur lequel s’appliquera un taux d’égalisation du prix du foncier en Europe.

5 – L’exonération pendant cinq ans de toute charge fiscale et sociale

Le Maroc et le Sénégal, pour assurer le rayonnement
de leur agriculture et leur indépendance alimentaire,
exonèrent le monde agricole de toute charge fiscale et sociale.
La France, qui doit faire de l’agriculture sa priorité nationale absolue,
pour assurer son indépendance alimentaire
et gagner la guerre économique
des biotechnologies, doit à son tour exonérer les éleveurs et les paysans
pour leur donner la plus grande compétitivité
dans la guerre agricole planétaire.


6 – Mesures fortes pour l’installation de 15 000 jeunes agriculteurs par an.


7 – Mise à parité en cinq ans des retraites agricoles
avec les retraites des autres français,

notamment pour le conjoint survivant, comme une mesure de restitution
au monde paysan de la plus-value de productivité confisquée
depuis 30 ans au profit du secteur des services.


8 – Loi de sanctuarisation juridique du droit millénaire du paysan
au réensemencement d’une partie de sa récolte
contre le brevetage du vivant par les multinationales.

9 – Développement des outils assuranciels de gestion de crise.



II – TROIS MESURES À NÉGOCIER A BRUXELLES


1 - Un chèque de rupture du contrat de préférence communautaire

Dans le traité de Rome, il y avait indirectement la préférence agricole communautaire. Bruxelles a choisi de l’abandonner,
par des accords de libre-échange.
Il y a eu alors des importations bovines
et agricoles massives au détriment de nos produits.
Par exemple, avec 30 000 tonnes de moutons
importées de Nouvelle-Zélande chaque année en France.

C’est là qu’est la rupture du contrat agricole communautaire,
au détriment de nos paysans. Il faut que Bruxelles indemnise
cette rupture du contrat de préférence communautaire,
avec un chèque annuel calculé sur la base des importations agricoles.
Ce chèque financera en partie la Caisse de compensation
de la dette agricole. Par exemple, pour 2005,
le montant des importations agricoles en France
étant de 8,8 milliards d’euros, la Caisse de compensation recevra
un versement, pour l’amortissement de cette dette,
égal à un coefficient à appliquer aux 8,8 milliards.

2 - Un fonds structurel de compensation territoriale
des coûts sanitaires

(des retraités européens transférés)


Dans l’Europe qui vieillit, il y a transfert de population de l’Europe du nord vers la France du sud. Des achats de plus en plus nombreux de terres dans notre Sud-Ouest sont faits par des Anglais, Belges, Allemands…
Les compagnies low coast, comme Ryanair, y sont pour beaucoup.

Mais ces retraités européens, qui viennent rechercher dans nos villages
la qualité de vie, sont aussi peu à peu des consommateurs
d’aides à la personne. Quand la dépendance les frappe.

Le budget européen doit prendre acte de cette charge en train de se créer pour les communes rurales. Au titre des fonds structurels,
il y a donc une nouvelle ligne budgétaire à créer.
C’est ce que la France doit mettre sur la table.
Nous importons en réalité des consommateurs de services sociaux.
C’est à financer par Bruxelles au titre de la solidarité territoriale.

Un retraité anglais qui s’installe à Laissac, Cahors ou Mende en 2008,
c’est un malade anglais à soigner en 2018. La France doit négocier
dès maintenant : à chaque Européen du nord qui se transfère chez nous
doit correspondre la ligne de crédits pour compenser
le coût sanitaire induit qui va en résulter.

Les pays de l’Europe du sud vont donc devoir bénéficier d’un Fonds
de compensation de cette dépendance transférée (FCDT).

3 - L’institution de droits de douane déductibles

L’invention des droits de douane déductibles,
sous la forme d’un crédit douanier offert à l’exportateur,
à utiliser en déduction sur des achats dans le pays importateur,
résout le problème des délocalisations de nos entreprises
et des importations de produits étrangers à des prix de dumping.

Il faut convaincre Bruxelles de mettre sur la table des négociations de l’OMC
cette invention du crédit douanier déductible. Crédit remboursable,
négociable en bourse et bonifiable au profit des pays pauvres.
Son adoption, par les 153 Etats de l’OMC,
permettrait de concilier la nécessité
du commerce international et la protection
notamment de nos productions agricoles.

III – LA VIGILANCE À AVOIR A GENÉVE

À Genève, depuis 1995, l’Organisation Mondiale du Commerce ou OMC,
connue, de 1947 à 1994, sous le nom de GATT,
règle par arbitrage les litiges commerciaux entre 153 Etats.

Cette OMC est législateur et juge du commerce planétaire
entre les Etats.

Là se décident entre les Etats, à l’unanimité,
les règles du commerce international avec les droits de douane,
les protections sanitaires permises ou non aux Etats
et jusqu’aux hectares que nous avons le droit de semer ou non
en soja, colza ou tournesol.

Les 27 pays de l’Union européenne, France comprise,
ne peuvent pas négocier à l’OMC. C’est le commissaire européen,
l’Anglais Peter Mandelson, qui négocie pour nous,
assisté de conseillers dont 17 députés européens
parmi lesquels, pour la France, Jean-Claude Martinez,
au titre des conseillers agricoles, depuis 1993.

C’est là, à Genève,
que nous devons plaider l’idée d’une nouvelle technologie douanière
pour protéger nos économies.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Élections Européennes de 2009.

Jean-Claude Martinez sera bien candidat
.

Jean-Claude Martinez (eurodéputé)

constitura une liste dissidente dans la région sud-ouest

pour les élections européennes de 2009.

il établira des listes dans toutes les circonscriptions.

Jean-Claude Martinez oppose

"ceux qui croient en la vie

et ceux qui croient aux forces obscures de la mort [...]

ceux qui ont une vision étriquée de la France, une vision à la Poujade,

à ceux qui ont la vision de Jean-Paul II :


«n’ayez pas peur, entrez dans l’espérance»


Cette foi en l’avenir est le moteur de son discours
avec de
nombreuses références à la culture de la vie.
Il réaffirme notamment son opposition à l’euthanasie
et à la vision malthusienne de la société
.


 

 

 

Madame, Monsieur,

Cher(e) ami(e),


A l’approche d’échéances cruciales pour notre pays,
j’ai besoin de vous.


Défenseur de l’identité nationale et des racines chrétiennes de l’Europe,
vous constatez régulièrement le fossé qui sépare les promesses faites
par les élus et les politiciens nationaux qui trahissent les engagements
pris dès la campagne finie ou leur élection acquise.


Aujourd’hui, une opportunité s’offre à vous de remettre au premier plan nos idéaux communs et de relancer un mouvement de reconquête à l’occasion des élections européennes du 7 juin prochain.

«
Avec Jean-Claude Martinez, l’Europe mais de la Vie »,

la liste que je conduirai, se veut le fer de lance de cette reconquête.


J’ai besoin de votre aide pour financer les 14 millions de bulletins de vote et  les 30 000 affiches  indispensables à la campagne, mais aussi les tracts, réunions et autres opérations militantes qui nous permettront de faire passer notre message. Nos militants nous ont permis de financer la pré-campagne mais aujourd’hui les choses s’accélèrent, il nous faut donc mobiliser toutes les bonnes volontés.
Tout don, même minime, contribuera au succès de notre démarche.

Une association de financement électorale a été créée à cet effet
et vous permet de bénéficier d’une réduction fiscale à hauteur de 66 %
de votre don (coupon joint).


Je sais pouvoir compter sur votre soutien et vous remercie par avance de votre contribution à ce difficile combat essentiel pour l’avenir de nos enfants.

Cordialement,


Jean-Claude MARTINEZ
Député européen
Candidat aux élections européennes 2009
Circonscription du Grand Sud-ouest

 

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